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Immersion à Penninghen, école de création de référence

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Ecole artistique et communication Penninghen

Art graphique, communication visuelle et architecture intérieure : aujourd’hui, nous t’emmenons en immersion à l’école Penninghen, première école française dans ces trois domaines et qui forme les plus grand(e)s architectes, directeurs artistiques et réalisateurs de France. Décryptage.

Penninghen : un enseignement résolument lié au monde professionnel

Avec pas moins de 120 professionnels encadrant 630 étudiants répartis en 5 promotions, et 120 diplômés chaque année, Penninghen est aujourd’hui une référence parmi les écoles créatives de France. Grâce à sa pédagogie tournée vers l’humain et le dialogue, elle accompagne ses jeunes étudiants et les oriente vers des carrières en direction artistique, architecture d’intérieur, et depuis peu, dans le domaine de la communication.

Dotée d’un corps professoral de qualité, Penninghen mise avant tout sur des intervenants de très haut vol. Notons par exemple la présence de l’architecte d’intérieur Pierre Yovanovitch, à la tête de sa propre agence extrêmement reconnue et en collaboration avec Dior sur une ligne de petit mobilier. On retrouve également la présence des directeurs artistiques Yorgo Tloupas (Vanity Fair) et Johanne Casagrande (Maison Ladurée).

Lire aussi : Tout savoir sur le métier de directeur artistique

Les étudiants créatifs à Penninghen rencontrent, tout au long de leur formation, pas moins de 200 entreprises françaises et internationales partenaires. Cela a notamment pour objectif d’assurer la bonne transmission des savoirs et compétences des plus grands professionnels de ces secteurs. 

Une école créative aux alumni reconnus dans le milieu

Penninghen a la particularité de compter de très grands noms parmi ses diplômés, et ce, depuis sa création. Parmi eux, on peut citer l’architecte d’intérieur Hugo Toro ou encore Tristan Auer (élu créateur de l’année du salon Maison & Objet 2017 et chargé de la rénovation du prestigieux hôtel Crillon).

L’école créative peut également se targuer d’avoir décerné son diplôme à des directeurs artistiques très reconnus :
– Soledad Bravi (illustratrice, mais aussi DA d’une agence de publicité avant d’entamer une collaboration avec le magazine Elle) ;
– Florence Bellisson (Executive Creative Director chez Hermès) ;
– Chris Macari (réalisateur et producteur de clips musicaux, à l’origine des clips Caesar Palace ou OKLM). 

Les anciens élèves, déjà distingués par de brillantes carrières, se voient parfois remettre une récompense par l’école elle-même : le prix Met de Penninghen, qui souligne la qualité des créations, des carrières et des qualités personnelles de celles et ceux à qui ils sont décernés. Une fois de plus, la transmission de savoir d’une génération à l’autre est mise en avant par l’école.

Des lignes directrices qui font également le succès de l’école

Certains axes sont particulièrement développés par l’école, qui souhaite promouvoir chez ses élèves le “dépassement de soi” comme l’explique le directeur de l’école, Gilles Poplin (lui-même diplômé de Penninghen en 1995). Plus que des matières, ce sont des capacités qui sont mises en avant et travaillées autour d’ateliers divers, pendant les cinq années de formation : développement de l’autonomie créative, renforcement de l’intuition, affirmation de la confiance en soi, anticipation et participation aux mutations sociétales…

Penninghen : aucun prérequis demandé pour l’intégrer 

Surprenant mais vrai, l’école n’exige aucun prérequis pour sélectionner les élèves, et part d’un postulat simple : il est possible d’apprendre et de travailler absolument toutes les pratiques artistiques, à tout âge. Inutile donc de disposer d’un talent particulier dans  une des disciplines enseignées à Penninghen. Les qualités nécessaires pour poursuivre une formation créative, à savoir la volonté, le travail, l’engagement, la capacité à se dépasser, ne se retrouvent pas dans les diplômes précédents ou dans la capacité à dessiner, estime l’école.